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27 septembre 2012
André Spire
Mots et notes
Une sélection de poèmes d’André Spire ainsi de nouveau disponibles.
Illustrations de Marie-Brunette Spire, Alfred Dott et Guy Braun.
Postface de Marie-Brunette Spire.
Préface d’Anne Mounic.
Cahier de Peut-être, n° 2. Chalifert : Association des Amis de l’Œuvre de Claude Vigée, 2012.
A cette occasion, Marie-Brunette Spire lira les poèmes de son père le mardi 16 octobre 2012 à la librairie L’échappée littéraire, à 18 heures 30.
7, rue Crébillon - 75006 Paris.
L’Esprit du récit ou La chair du devenir : Ethique et création littéraire. Paris : Honoré Champion, 2013.
L’ESPRIT DU RÉCIT OU LA CHAIR DU DEVENIR Éthique et création littéraire
L’esprit du récit, modelant le temps, assure la continuité de l’être ainsi que son au-delà au sein du devenir et de la communauté. A travers l’étude d’œuvres diverses, de Shakespeare à Albert Camus, Claude Vigée et Juan Gelman, en passant par Milton, Blake, Melville (Billy Budd), Emily Dickinson, Kafka, Marguerite Audoux, Etty Hillesum, Hélène Berr, ou bien Borchert, sans négliger l’œuvre artistique, à travers les dessins d’Henry Moore, l’auteur de cet ouvrage se propose de mettre en valeur la façon dont la voix singulière, grâce au conte et à ses figures, tisse ses modulations dans la durée et, donnant chair à ses métamorphoses, fait, grâce à l’empathie que suscite l’œuvre, l’apprentissage de la liberté et de l’Ouvert dans la communion du Je et du Tu.
http://www.honorechampion.com/cgi/run?wwfrset+3+549017400+1+2+cccdegtl1+N+1+19045366
Le lecteur verra dans ce livre se dérouler sous divers aspects l’esprit du conte. Diverses facettes du singulier vont se déployer. Je n’entends pas développer un abord érudit sur chaque auteur abordé, mais plutôt mettre en relief ce qui me paraît, sous le nom d’esprit du récit, être la pensée de l’œuvre artistique ou littéraire, œuvre qui ne cherche pas à enseigner comme le dit Benjamin Fondane dans « L’homme devant l’histoire ou le bruit et la fureur », mais qui n’en offre pas moins une vision incarnée de l’être, et une réflexion sur lui, qui se renouvelle à travers les âges dans la continuité de la parole et de la voix, qui est espérance. Je voudrais montrer que les poètes, en leur « foi expérimentale », selon le mot de Proust, pensent.
(Extrait de l’Introduction.)
Anne Mounic
Une aiguillée pour l’infini
Poèmes 2010-2012
Illustrations de l’auteur.
Colomiers : Encres Vives, 2012.
La caresse du vertige
Poèmes, été 2010
Illustrations de Guy Braun.
Paris : Caractères, 2012.